Conditions extrêmes : avons-nous le choix ? (ARTICLE + VIDÉO)
Bienvenue dans ce nouvel article !
Notre histoire d’aujourd’hui commence avec la pluie ! Et oui la pluie ! Imaginez vous un jour pluvieux (oui je sais à Montpellier c’est difficile de se l’imaginer), je suis sur le court de tennis et je suis trempé. Il fait froid, j’ai mon manteau (Head bien sûr), l’eau me coule dans le visage, j’ai les cheveux trempés et je parle tout seul face à un petit objet (Smartphone).
Nous allons partir du principe que la pluie est un phénomène objectif (hors considération spéciales tel que la physique quantique, ou encore la philosophie). La pluie correspond à la réalité et tout le monde est d’accord pour dire qu’il pleut (on ne peut pas dire qu’il ne pleut pas).
En revanche, ce qui n’est pas réel c’est mon état d’esprit vis-à-vis de ça. Lorsqu’un événement se présente à nous, nous avons toujours le choix de le déformer et de choisir quelle est notre représentation de la réalité. Par exemple, pour certaines personnes cette pluie sera sources de désagréments : moi en l’occurrence, ce n’est pas très agréable, j’ai froids, j’ai la pluie qui me tombe dans les yeux. Mais on peut aussi voir cette pluie comme une bénédiction (pour certains agriculteurs, la pluie est source de vie, pour certains joueurs de tennis ou profs de tennis cela représente plus de repos ou encore un rafraichissement de la température etc.).
En fait notre source de bonheur ou de malheur et par extension nos sources de progrès et de performance dépendent très rarement des facteurs extérieurs mais quasiment toujours des facteurs internes. Qu’est-ce que je décide de la situation ? Je peux décider que c’est un bon moment, je peux décider que c’est un mauvais moment.
Cette petite histoire peut représenter une métaphore pour beaucoup de choses. La pluie peut être une métaphore de nos émotions : la colère, la rage, la peur et toutes ces émotions négatives sont en fait normales. C’est comme la météo : il pleut et voilà c’est tout. C’est normal et il n’y a pas besoin de chercher à les contrôler. Par contre, ce qui dépend de moi, c’est ma réaction vis-à-vis de cela. C’est le plus important au tennis et plus généralement dans la vie.
N’oubliez-jamais que cette métaphore peut s’appliquer à n’importe quel événement extérieur : la météo, le public, *votre exemple personnel. Et la réponse est toujours la même : nous choisissons quel est notre réaction vis-à-vis de cet événement.
Cet article touche à sa fin, il était là pour vous rappeler que vous avez le choix ! Vous avez le contrôle de vos réactions face aux évènements qui surviennent dans votre vie.
J’ai pris beaucoup de plaisir à écrire cet article et si tu l’as apprécié n’oublie pas de me le faire savoir ou de me soutenir en continuant à me suivre 🙂 Si tu as toi aussi un exemple de situation extrême ou tu peux choisir ton ressenti, mets-le dans les commentaires pour le partager !
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Merci de m’avoir lu, à bientôt pour un prochain article et en attendant n’oubliez pas, allez jouer au tennis, progressez et surtout faites-vous plaisir !